Expo « Retour sur Montauban »

15 artistes participent à l’expo « Retour sur Montauban ». A l’occasion des journées européennes du patrimoine( JEP 2018 ), le samedi 15 septembre et le dimanche 16 septembre, le Mini Musée Pamadou à Montauban en relation avec le Ministère de la Culture, et la DRAC Occitanie ont le plaisir de vous convier à une exposition intitulée «Retour sur Montauban ». C’est une exposition ludique, pour les jeunes et les passionnés du patrimoine, consacrée à la représentation de la beauté de Montauban et à son partage dans les générations.

AFFICHE EXPOSITION JEP 2018 MINI MUSEE

 

Une exposition ludique

« Retour sur Montauban » est une exposition ludique, pour les jeunes et les passionnés du patrimoine. Elle est consacrée à la représentation en images de la beauté poétique de Montauban et à son partage dans les générations.

L’exposition « Retour sur Montauban » est réalisée avec l’aide des « Amis du vieux Montauban« , du « Groupe MinimA », de L’ EPIMA (L’école picturale de la Mandoune), des artistes et des collectionneurs qui ont accepté de nous prêter des œuvres et le Mini Musée de Montauban (22, rue de la Comédie, 82000 Montauban).

Cette exposition est une formidable occasion de se replonger dans la représentation de la ville. Dans cette époque difficile où les centres historiques souffrent, nous vous invitons à découvrir et à partager le charme insoupçonné, toujours puissant et émouvant du cœur de la ville de Montauban.

15 artistes exposent

15 artistes participent avec « l’école picturale de la Mandoune » et le « Groupe MinimA » à l’exposition « Retour sur Montauban », ils présentent un « paysage nouveau » de Montauban en peinture, en miniature et en grands formats:

BRIGNAC / Yara DE ANDRADE / Françoise DI FRANCO / Adeline DUCELIER / Maurice ERASME / Jean-François GLEYZE / Laurent LABRIAUD / Marie-Christine NOEL / NONOKO / Grégory PAMADOU / MORN / Jean-Pierre SANCHEZ / Sophie SCYEUR / Gérard SENES / THESEE

Leur vision, chargée des sollicitations actuelle, n’est pas en contradiction avec les peintres du paysage du siècle dernier dont ils sont les héritiers, comme Hubert BERGERE(1893-1983) ( les œuvres de BERGERE, sur le paysage de Montauban, sont exposées en même temps), bien au contraire ils partagent le même art et les mêmes préoccupations pour la beauté du paysage de Montauban, dans les générations.

La négation de la ville

Depuis la création de la ville jusqu’à nos jours, Montauban est un motif présent dans l’imaginaire poétique et artistique de la région. Éveillant le souvenir glorieux des bastidesdu sud dont le sang est fait de briques rouges, la ville insuffle la fascination, l’émulation et l’espoir de faire perdurer encore ce rêve éveillé. A partir du XVIIIe siècle et tout au long de l’époque romantique, elle inspire une rêverie mélancolique sur le temps qui passe. Enfin, de la fin du XXe siècle à aujourd’hui, Montauban suscite la crainte, son existence est niée, la ville historique disparaît des toiles et des poèmes. Cette négation semble annoncer un effondrement de l’activité du cœur de ville, dans un monde globalisé, bouleversé par la révolution numérique et traversé par les conflits et les guerres.

Retour sur Montauban

A de multiples reprises, les artistes comme les poètes se sont faits les interprètes de ces différents sentiments. L’exposition présentée au Mini Musée est particulièrement marquée par ce motif esthétique. C’est donc à une promenade poétique d’un « Retour sur Montauban » que le visiteur est convié. Il est urgent et nécessaire de s’intéresser à la ville, en somme de faire la négation de la négation de la ville, et de continuer à partager cet espace et les représentations de la ville. Ce « Retour sur Montauban » évoque également le centre réinvesti par ses habitants après une longue déshérence. L’exposition souligne surtout la permanence, comme les transformations de cet imaginaire, où se lit en filigrane, la transmission et le partage de la ville, mais surtout l’histoire du rapport intime que l’habitant entretient avec sa ville, avec son passé comme son futur.

©Grégory Pamadou, Commissaire de l’exposition.

 

In english please

Exhibition(Exposure) « Return on Montauban »

A play exhibition(exposure) « Return on Montauban» is a play exhibition(exposure), for the young people and the enthusiasts of heritage. It is devoted to representation in images of the poetic beauty of Montauban and to its division(sharing) in generations.

Exhibition(Exposure) « Return on Montauban » is realised with the help of the « Friends of old man Montauban », of the « Group Minima », of L’ EPIMA (The pictorial school of Mandoune), artists and collectors who agreed to lend us of works and the Tiny Museum of Montauban(22, rue de la Comédie, 82000 Montauban).

This exhibition(exposure) is a great(tremendous) opportunity(occasion) to immerse itself again into the representation of the city. In this difficult time(period) when the historic centres suffer, we invite you to discover and to share unsuspected charm, always powerful and moving of the heart of the city of Montauban.

15 artists expose(explain)

15 artists participate with «the pictorial school of Mandoune» and the «Minima group» in exhibition(exposure) «Return on Montauban», they present a «new landscape» of Montauban in painting(paint), in miniature and in big(great) sizes(formats):

BRIGNAC / Yara OF ANDRADE / FRENCH Françoise DI / ADELINE DUCELIER / MAURICE ERASME / JEAN-FRANÇOIS GLEYZE / LAURENT LABRIAUD / MARIE-CHRISTINE NOEL / NONOKO / GRÉGORY PAMADOU / MORN / JEAN-PIERRE SANCHEZ / SOPHIE SCYEUR / GÉRARD SENES / THESEE

Their vision, in charge of solicitations current, does not contradict the painters of the landscape of last century the heirs, as Hubert BERGERE (1893-1983) of which are they (shepherdess’s works, on the landscape of Montauban, are exposed(explained) at the same time), quite the opposite they share the same art and the same concerns for the beauty of the landscape of Montauban, in generations.

The negation of the city

Since the creation of the city until our days, Montauban is a present motive in the poetic and artistic imagination of the region. Awakening the glorious memory(souvenir) of the ancient country-houses of the South the blood of which is made red bricks, the city breathes fascination, emulation and hope of making continue still this waking dream. From the XVIIIth century and throughout romantic time(period), she(it) inspires a melancholic imagining at the time(weather) which passes. Finally, of the end of the XXth century in today, Montauban provokes fear, its existence is denied, the historic city disappears from paintings(cloths) and from poems. This negation seems to announce a collapse of the activity of the city heart, in a globalized world, upset by digital revolution and crossed by conflicts and wars.

Marine Semeria à Grisolles

Le rapport de Marine Semeria à notre monde et sa critique de notre passivité face aux absurdités de nos usages de consommateur se confrontent, pour son exposition au musée Calbet, à la pérennité des objets du quotidien d’autrefois, pensés comme devant durer et perdurer parfois sur plusieurs générations d’utilisateurs, dans un rapport de rentabilité non pas financière mais matérielle : un monde à l’envers.

Capture
L’artiste fait une critique à charge du système économique, mercantile, bancaire, consumériste de notre société. Elle s’attaque plus particulièrement au TRAVAIL et à l’inversion des valeurs travail/argent. Cette exposition à forte charge contestataire ne vous laisse pas indifférent en pleine saison estivale…

Du 15/06/2018 au 08/09/2018

Musée Calbet – 15 rue Jean de Comère 82170 Grisolles